• Je ne vois pas pourquoi je ferais autre chose
    Que de rêver sous l'arbre où le ramier se pose ;
    Les chars passent, j'entends grincer les durs essieux ;

    Quand les filles s'en vont laver à la fontaine,
    Elles prêtent l'oreille à ma chanson lointaine,
    Et moi je reste au fond des bois mystérieux,

    Parce que le hallier m'offre des fleurs sans nombre,
    ...