J’ai quitté les écueils de cette île enchantée
Où l’amour si longtemps me retint sous sa loi ;
Heureux ou malheureux de l’avoir désertée,
N’importe ! — je suis libre, et mes jours sont à moi.
Viens, mon luth ! sous mes doigts viens résonner encore !
Assez, dans mes ennuis, j’oubliai tes accents ;
Assez tu reposas sur la plage sonore
Dont...