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    L’ombre nous semble une ennemie en embuscade…
    Viens, je t’emporterai comme une enfant malade,
    Comme une enfant plaintive et craintive et malade.

    Entre mes bras nerveux j’étreins ton corps léger.
    Tu verras que je sais guérir et protéger,
    Et que mes bras sont forts pour mieux te protéger.

    Les bois sacrés n’ont plus d’efficaces dictames,
    Et le...

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    ...

  • Nous n'irons plus au bois, les lauriers sont coupés.
    Les Amours des bassins, les Naïades en groupe
    Voient reluire au soleil en cristaux découpés
    Les flots silencieux qui coulaient de leur coupe.
    Les lauriers sont coupés, et le cerf aux abois
    Tressaille au son du cor; nous n'irons plus au bois,
    Où des enfants charmants riait la folle troupe
    Sous les regards...