• DU destin qu’un autre se plaigne
    Car c’est impossible, ma foi,
    Que la fortune me dédaigne
    Comme je la dédaigne, moi.

    J’ai ma colombe, j’ai ma belle
    Dont l’œil est plus clair que le jour,
    Et qui jamais ne m’est rebelle,
    Quand je m’abrite en son amour ;

    Celle qui sait, lorsque décembre
    Grelotte au fond du corridor,
    Me dire : restons...