• J’ai vu s’éteindre en moi le brûlant désespoir…
    Ma bouche cessera de ravager ta bouche,
    Je ne connaîtrai plus les veilles sur la couche
    De la moite Insomnie et du Désir farouche,

    Car la Mer et la Mort me rappellent, ce soir…

    La nuit...