L’alouette souvent, pour saluer l’aurore,
A redit sa chanson sur la rive sonore,
Et le soleil du soir sur la mer et le pré,
A souvent fait descendre un long sillon pourpré.
Le port de Saint-Malo luit comme une topaze ;
Le rapide alcyon d’une aile agile rase
La surface immobile et brillante des flots.
Des bâtiments divers les joyeux matelots...