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    Mai, qu’avait jusqu’alors désolé le vent aigre,
    Mai, frileux sous les fleurs, en habit de vinaigre,
    S’était enfui, Joyeux, dans le ciel enchanté,
    Le chaud soleil de juin proclamait : « C’est l’été ! »
    Celle qui connaît bien mon sentiment pour elle
    Choisit sa robe claire et sa plus fraîche ombrelle ;
    Et pour le beau pays de forêts et d’étangs
    ...