• La porchère va remplir l’auge
    De son mouillé d’eau de vaisselle.
    Les deux bras nus jusqu’à l’aisselle,
    Elle va, vient, court et patauge.

    — L’air est plein d’une odeur de sauge.
    La lumière partout ruisselle.
    La porchère va remplir l’auge
    De son mouillé d’eau de vaisselle.

    Et ma foi ! mon désir se jauge
    Aux charmes de la jouvencelle :...