• Un oiseau solitaire aux bizarres couleurs
    Est venu se poser sur une enfant ; mais elle,
    Arrachant son plumage où le prisme étincelle,
    De toute sa parure elle fait des douleurs ;

    Et le duvet moelleux, plein d'intimes chaleurs,
    Épars, flotte au doux vent d'une bouche cruelle.
    Or l'oiseau, c'est mon coeur ; l'enfant coupable est celle,
    Celle dont je...