• Dans cette mascarade immense des vivants
    Nul ne parle à son gré ni ne marche à sa guise ;
    Faite pour révéler, la parole déguise,
    Et la face n'est plus qu'un masque aux traits savants.

    Mais vient l'heure où le corps, infidèle ministre,
    Ne prête plus son geste à l'âme éparse au loin,
    Et, tombant tout à coup dans un repos sinistre,
    Cesse d'être complice et...