« De qui me parles-tu, céleste rêverie,
Mystérieux concert de mon âme attendrie ?
D’un temps sans origine es-tu l’écho secret,
Un espoir que j’ignore, ou mon dernier regret ?
Es-tu l’hymne nouveau de la harpe infinie
Dont le cœur des élus comprend seul l’harmonie ?
Ou bien l’appel trompeur de quelque esprit subtil ?
» Peut-être est-ce mon âme...