L’envoi des vers suivants était accompagné de ces mots :
« Puisque vous voulez des vers qui, détachés du reste, ne
signifient absolument rien, je vous envoie ceux-ci ; agréez,
Madame, cet envoi comme la preuve irrécusable de mon
obéissance et de ma parfaite abnégation. »
Il se terminait ainsi : « Vous voyez bien que vous n’en savez
...