Le jour naît et s’enfuit, et toujours les navires
Ouvrent, sur les flots bleus, leurs voiles aux zéphyrs.
Après avoir laissé des rivages divers,
Ils longent dans leur course une île aux bords déserts,
Un immense rocher qui dresse sur les ondes
Son dos âpre et sinistre, où des oiseaux immondes
Viennent seuls, le printemps, jetant de tristes cris,...