• Mets les mains sur mon front où tout l'humain orage
    Lutte comme un oiseau,
    Et perpétue, ainsi qu'au creux des coquillages,
    Le tumulte des eaux.

    Ferme mes yeux afin qu'ils soient clos et tranquilles
    Comme au fond du sommeil,
    Et qu'ils ne sachent plus quand passent sur la ville
    La lune et le soleil.

    Parle-moi de la mort, du songe qu'on y...