Dieu du ciel, ô mon Dieu, par quels sombres chemins
Passent journellement des myriades d’humains ?
Combien de malheureux sous ses monceaux de pierre
Toute large cité dérobe à la lumière,
Que d’êtres gémissants cheminent vers la mort,
Le visage hâlé par l’âpre vent du sort ?
Ah ! Le nombre est immense, horrible, incalculable,
À vous faire jeter...