Je vis la Mort, je vis la Honte ; toutes deux
Marchaient au crépuscule au fond du bois hideux.
L’herbe informe était brune et d’un souffle agitée.
Et sur un cheval mort la Mort était montée ;
La Honte cheminait sur un cheval pourri.
Des vagues oiseaux noirs on entendait le cri.
Et la Honte me dit : — Je m’appelle la Joie.
Je vais au bonheur...