• Rien ne captive autant que ce particulier
    Charme de la musique où ma langueur s'adore,
    Quand je poursuis, aux soirs, le reflet que mordore
    Maint lustre au tapis vert du salon familier.

    Que j'aime entendre alors, plein de deuil singulier,
    Monter du piano, comme d'une mandore
    Le rythme somnolent où ma névrose odore
    Son spasme funéraire et cherche à s'...