Puisque de mes destins l'arrêt est prononcé
Et qu'aux profanes cris de la grande adultère,
J'aurai d'un sang trop pur demain marqué la terre,
Vieil aigle par les feux de mille coups percé,
Apollon, toi, seul dieu qui mon culte ait fixé,
Flambeau toujours présent à...
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J'ai sablé le vin, j'ai humé les roses ; |
Les feuilles tombent ; c'est l'automne |
Cette nuit (noble accord des êtres et des choses) |
Tableau qui mes peines dissipe, |
Pétard qui tranche de la bombe, |
ou le retour à Ithaque |
( Io! le Délien est né ! |