• A Eric de Haulleville

    Pour veiller ce soir d'hiver
    Verse le thé, plus amer
    Et violent que le fer,
    Où est le plaisir des sages.
    Tu te penches sur ce thé
    Tu y cherches la santé
    Les vertus, la vérité
    D'une eau vive et sans nuages.

    Or un visage sans prix
    Comme de l'or dépoli
    Apparaît et te sourit
    Dans la liqueur...