IV
O ville, tu feras agenouiller l'histoire.
Saigner est ta beauté, mourir est ta victoire.
Mais non, tu ne meurs pas. Ton sang coule, mais ceux
Qui voyaient César rire en tes bras paresseux,
S'étonnent : tu franchis la flamme expiatoire...
IV O ville, tu feras agenouiller l'histoire. |
Ô ville, tu feras agenouiller l'histoire. |