•    Quand tu ouvres la bouche — ô Gul-i-siah —
    j’aperçois une caverne où s’alignent des perles dédaignées
    du tellal.

       Quand ton haleine m’atteint — ô Gul-i-siah — je
    porte sans délai la rose à mes narines.

       Quand tu commences un récit — ô Gul-i-siah —
    les serpents sifflent dans les airs et les scorpions s’entretuent.

    ...