• À Jean Richepin.

    Le ciel des nuits d'été fait à Paris dormant
    Un dais de velours bleu piqué de blanches nues,
    Et les aspects nouveaux des ruelles connues
    Flottent dans un magique et pâle enchantement.

    L'angle, plus effilé, des noires avenues
    Invite le regard, lointain vague et charmant.
    Les derniers Philistins, qui marchent pesamment,
    Ont...