• Ô fatale rencontre ! au fond d’un chemin creux
    Se chauffait au soleil, sur le talus ocreux,
    Un reptile aussi long qu’un manche de quenouille.
    Mais le saut effaré d’une pauvre grenouille
    Montrait que le serpent ne dormait qu’à moitié !
    Et je laissai, l’horreur étranglant ma pitié,
    Sa gueule se distendre et, toute grande ouverte,
    Se fermer lentement sur...