[25] Nach der Schlacht an der englischen Front.
Die Totengräber haben schon
die Schaufeln angesetzt, da naht sich holpernd ein Viererzug,
und ihm entsteigen stolpernd die Reisenden der Firma Cook...
[25] Nach der Schlacht an der englischen Front.
Die Totengräber haben schon
die Schaufeln angesetzt, da naht sich holpernd ein Viererzug,
und ihm entsteigen stolpernd die Reisenden der Firma Cook...
Vous n’avez point voulu m’écouter… mais qu’importe ?
O vous dont le courroux vertueux s’échauffa
Lorsque j’osai venir frapper à votre porte,
Vous ne cueillerez point les roses de Psappha.
Vous ne verrez jamais les jardins et les berges
Où résonna l’accord puissant de son paktis,
Et vous n’entendrez point le chœur sacré des vierges,
Ni l’hymne...
Pour veiner de son front la pâleur délicate,
Le Japon a donné son plus limpide azur ;
La blanche porcelaine est d’un blanc bien moins pur
Que son col transparent et ses tempes d’agate ;
Dans sa prunelle humide un doux rayon éclate ;
Le chant du rossignol près de sa voix est dur,
Et, quand elle se lève à notre ciel obscur,
On dirait de la lune en sa...
Sur un front de quinze ans les cheveux blonds d’Aline,
Débordant le bandeau qui les voile à nos yeux,
Baignent des deux côtés ses sourcils gracieux :
Tel un double ruisseau descend de la colline.
Et sa main, soutenant ce beau front qui s’incline,
Aime à jouer autour, et dans les flots soyeux
À noyer un doigt blanc, et l’ongle curieux
Rase en glissant...
Ton front est le foyer où mon âme rayonne,
Le ciel de la pensée où palpite et frissonne
Mon rêve, oiseau chanteur aux longues ailes d’or.
C’est l’oreiller charmant où ma langueur s’endort,
Où mon courage las de vivre se réveille.
Au bout de mon chemin c’est la lueur vermeille
Qui guide mon esprit et qui guide mes pas.
L’artiste qui le...
Vous qui sur mon front, toute en larmes,
Pressez vos yeux pour ne plus voir
Les feuilles du berceau de charmes
Sur le sable humide pleuvoir,
Dans le brouillard funèbre où glissent
Ces ombres des jours révolus,
Pauvre enfant dont les cils frémissent,
Vous qui pleurez, ne pleurez plus.
Car bientôt, dans les avenues,
Décembre...
Souvent, le front posé sur tes genoux, je pleure,
Plus faible que ton coeur amoureux, faible femme,
Et ma main qui frémit en recevant tes larmes
Se dérobe aux baisers de feu dont tu l'effleures.
" Mais, dis-tu, cher petit enfant, tu m'inquiètes ;
J'ai peur obscurément de cette peine étrange :
Quel incurable rêve ignoré des amantes
L'Infini met-il...
Mon front pâle est sur tes genoux
Que jonchent des débris de roses ;
O femme d'automne, aimons-nous
Avant le glas des temps moroses !
Oh ! des gestes doux de tes doigts
Pour calmer l'ennui qui me hante !
Je rêve à mes aïeux les rois,
Mais toi, lève les yeux, et chante.
Berce-moi des dolents refrains
De ces anciennes cantilènes...
Remembrance has a Rear and Front —
'Tis something like a House —
It has a Garret also
For Refuse and the Mouse.
Besides the deepest Cellar
That ever Mason laid —
Look to it by its Fathoms
Ourselves be not pursued —