• Enfin c’est toi ! Laisse-moi rester dans tes bras ;
    Puis tu m’objurgueras tant que tu le voudras ;
    Mais laisse-moi pleurer dans ton giron, que sais-je ?
    Sur les pieds, vers tes yeux ou mon remords s’allège ;
    Mou remords véritable, ou ma honte plutôt,
    Ma honte véridique à n’en point perdre un mot,
    Et voici, non pas mon excuse... superflue !
    Voici les...