• Ma mère, que je l'aime en ce portrait ancien,
    Peint aux jours glorieux qu'elle était jeune fille,
    Le front couleur de lys et le regard qui brille
    Comme un éblouissant miroir vénitien !

    Ma mère que voici n'est plus du tout la même ;
    Les rides ont creusé le beau marbre frontal ;
    Elle a perdu l'éclat du temps sentimental
    Où son hymen chanta comme un rose...