• Sur le sentier du plus âpre des bois,
    Tel qu’un flâneur distrait qui ne me voit,
    Le poil bouffant, vint tranquille vers moi
    Un renard. J’eus comme un léger émoi
    Qui se changea vite en éclat de rire
    Lorsque aussi prompt qu’une brise qui vire
    Il s’en alla si bien que je l’admire
    Dans ma pensée où je vois encor luire
    Sa queue. Et tout autour j’...