Toujours je pleure au nom de mon enfant :
    Sans sa beauté rien n’est beau dans ma vie.
Du monde et de ses biens, c’est le seul que j’envie,
Mais je ne l’attends plus, la mort me le défend.

    Je le revois dans la fleur éphémère ;
    Elle apparaît pour...

Toujours ce souvenir m'attendrit et me touche,
Quand lui-même, appliquant la flûte sur ma bouche,
Riant et m'asseyant sur lui, près de son coeur,
M'appelait son rival et déjà son vainqueur.
Il façonnait ma lèvre inhabile et peu sûre
A souffler une haleine harmonieuse...