Son chat, son chien, son porc, sa vache et quelques poules ;
Dites, le maigre bien du métayer flamand !
Si, le dimanche, au soir tombant, sa tête est saoule,
Les autres jours, toujours, il peine obstinément.
D’un cœur dont rien ne lasse et l’espoir et l’attente
Il casse ou moud le temps qui ne l’enrichit pas.
L’été, dans la campagne, avec sa bêche ardente...