• Il est de fins ressorts dont la marche ignorée
    - Ni savants, ni rêveurs, n'ont deviné comment -
    Va dans un coin de l'âme éveiller brusquement
    Le parfum d'une fleur autrefois respirée.

    Autrefois, le céleste épanouissement
    De ta bouche qui rit, cette rose pourprée,
    M'avait tout embaumé l'âme... Chère adorée
    Qui t'envolas si tôt, l'oubli vint lentement !...