• Au bas de la route inclinée,
    Où se croisent quatre chemins,
    Comme un grand fantôme sans mains
    Se dresse une croix surannée.

    Mais la farouche abandonnée
    Brave encor bien des lendemains,
    Au bas de la route inclinée
    Où se croisent quatre chemins.

    Et la croix manchote et minée,
    De l’âge des vieux parchemins,
    Épouvante les yeux humains...