I
Que ma lyre féconde en accents fantastiques
De mon chant ténébreux accompagne le son.
Mes pas ont pénétré sous des voûtes tragiques :
Je suis dans le tombeau sanglant d’Agamemnon.
Au deuil qui l’envahit en vain mon cœur résiste.....
Il s’endort — mais il rêve. — Oh ! comme je suis triste !
II
Comme elle vibre loin la harpe d’or...