Adieu, Paris, ville de fer,
Ville de vent, ville de rêve,
Cher Paris où l’amour se lève,
Doux Paris où j’ai tant souffert !
Et le train file, file, file,
Comme un éclair en pleine nuit…
Mon cœur fait encor plus de bruit,
Mon cœur qui n’est...
Adieu, Paris, ville de fer, Et le train file, file, file, |
Sur le chemin du bois, par les beaux jours d’été, Elles vont en chantant des refrains de chansons ; |
21 Mars 1915. Sous les étoiles d’or d’un ciel ornemental |