A Paris, en été, les soirs sont étouffants.
Et moi, noir promeneur qu'évitent les enfants,
Qui fuis la joie et fais, en flânant, bien des lieues,
Je m'en vais, ces jours-là, vers les tristes banlieues.
Je prends quelque ruelle où pousse le gazon
Et dont un mur tournant...
|
Je suis un pâle enfant du vieux Paris, et j'ai |
C'est vrai, j'aime Paris d'une amitié malsaine ; |