Le noir château, couvert de chiffres et d’emblèmes
Et ceint des froides fleurs dormant sur les eaux blêmes,
En un doux ciel humide effile ses toits bleus.
Dans le parc, où jadis on vit flotter des fées,
Les Nymphes, par le lierre en leur marbre étouffées,
Méditent...
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Tout dans l'immuable Nature Le reflet de cette magie L'inconnu, l'... |
C’était l’heure où la terre appartient au soleil, |
Les choses de l’amour ont de profonds secrets. |
Ce sont eux ! j’ai posé l’oreille contre terre Que nul de vous ne songe aux sanglots de l’... |
Ô mère d’Allegri ! Parme, cité chrétienne, J’ai vu Pompéi morte, et comme une Athénienne, |
Six percherons égaux, blancs et nourris d’avoine, Les feuilles bruissaient et balayaient la rue |
Je sais la vanité de tout désir profane. Ils n’ont, les plus... |
Divine Juliette au cercueil étendue, |
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