Phylis, je ne suis plus des rimeurs de ce siècle
Qui font pour un sonnet dix jours de cul de plomb
Et qui sont obligés d'en venir aux noms propres
Quand il leur faut rimer ou sur coiffe ou sur poil.
Je n'affecte jamais rime riche ni pauvre
De peur d'être contraint...
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Plaisirs d'un noble ami qui sait chérir ma veine, |
Que de ton beau jardin les merveilles j'admire ! |