• Puisque rien ne t'arrête en cet heureux pays,
    Ni l'ombre du palmier, ni le jaune maïs,
    Ni le repos, ni l'abondance,
    Ni de voir à ta voix battre le jeune sein
    De nos soeurs, dont, les soirs, le tournoyant essaim
    Couronne un coteau de sa danse,

    Adieu, voyageur blanc ! J'ai sellé de ma main,
    De peur qu'il ne te jette aux pierres du chemin,
    Ton cheval...