• Ici seul je me plains, Ô Fresnaie-au-Sauvage,
    A toi de mes ennuis ; et ce bois m'est témoin,
    Ces champs et ces beaux prés, du lamentable soin
    Qui souvent m'accompagne au bord de ce rivage.

    Quand je me vois, Fresnaie, en ton bois, en l'ombrage,
    Racontant ma tristesse en quelque sombre coin,
    Je suis comme un rocher, hors du péril au loin,
    Qui bien aise...