• Quelles obscuritez, quels importuns nuages
    Vont de mon ame, helas, le jour obscurcissant !
    Son Soleil n'y luit plus, et le teint palissant
    De la lune n'y rend que frayeur, et qu'ombrages.

    Il ne luy suffit pas qu'ell' ait perdu tels gaiges
    De l'amour de son Dieu qui la va delaissant,
    De son oeil chassieux le trait s'afoiblissant
    D'un tel aveuglement...