Les cloches dans leurs tours égrènent un rosaire
Mélancolique, par l'air d'une nuit d'été.
Or j'ai bu le poison aux yeux de la Beauté,
Et j'ai peine à ne pas crier sous ma misère.
Ô lourd ciboire où le damné se désaltère !
Ô coupe d'or sanglant où dort l'eau du...
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Qu'on ouvre la fenêtre au large, qu'on la laisse |
Saison fidèle aux coeurs qu'importune la joie, |
Ce soir, sur le chemin sonore du coteau, |
J'étais couché dans l'ombre au seuil de la forêt. |
Tu sommeilles ; je vois tes yeux sourire encor. |