• Viens dans le parc nocturne où dorment les fontaines,
    Mon amour ! Ne crains pas ce qu’on voit dans la nuit,
    Et ne frissonne plus parce qu’un vent fortuit
    A troublé la forêt sous ses voûtes lointaines.

    Laisse-moi te mener. Dans les miennes tes mains
    Sont un fardeau plus doux que des fleurs ou des ailes.
    Ecoute, les taillis sont pleins de souffles frêles....