Ils vont pieds nus le plus souvent. L’hiver
Met à leurs doigts des mitaines d’onglée.
Le soir, hélas ! ils soupent du grand air,
Et sur leur front la bise échevelée
Gronde, pareille au bruit d’une mêlée,
A peine un peu leur sort est adouci
Quand avril fait la...
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Mon vieux compatriote, on t’oublie. On déterre, |
Cosette ! le printemps nous appelle. Fuyons Tristesses de l’hiver, allez-vous-en ! Rions |
Rien n’est plus ennuyeux que ces villes banales Des princes vagabonds illustrent leurs annales ; |