Le voilà qui chevauche à travers la forêt,
Vigilant, le cœur haut et la lance en arrêt ;
Il va dans l’inconnu des bois, des chemins sombres,
Fuyant tout ce qui luit, scrutant les lieux pleins d’ombres,
Devinant sous les fleurs la guêpe ou le poison,
...
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Quel silence à présent sur ce morne terrain La bataille perdue importe au souverain, |
Mon père, ce héros au sourire si doux, |
Mon père, ce héros au sourire si doux, |