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        Dans l’Hadès souterrain où la nuit est parfaite
        Te souviens-tu de l’île odorante, ô Psappha ?
        Du verger où l’élan des lyres triompha,
        Et des pommiers fleuris où la brise s’arrête ?

        Toi qui fus à la fois l’amoureuse et l’amant,
        Te souviens-tu d’Atthis, parmi les ombres pâles,
        De ses refus et de ses rires, de ses râles,...