Je goûtais dans ma nuit profonde
les froides douceurs du repos,
et m’occupais peu des héros
qui troublent le repos du monde ;
mais dans nos champs élysiens
je vois une troupe en colère
de fiers bretons, d’autrichiens,
qui vous maudit et vous révère ;
je vois des français éventés,
qui tous se flattent de vous plaire,
et qui sont encore...