O de quelle splendeur brillaient nos jours passés,
Quand un autre soleil échauffait la patrie ;
Quand nos jeunes lauriers, vers le ciel élancés,
Agitaient noblement leur tige refleurie !
Ces grands jours, déjà loin, ne vont plus s’éveiller :
Notre avenir...
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Au milieu de la mer qui sépare deux mondes, |
O de quelle splendeur brillaient nos jours passés, |
Je ne suis plus enfant : trop lents pour mon envie, |
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