• C'est le désert lugubre après l'âpre savane,
    Le ciel de feu, le sable épais, l'air étouffant.
    D'une terreur étrange à peine on se défend.
    Seul, en ces lieux maudits, l'Arabe se pavane.

    Là des sources sans eaux, un palmier qui se fane ;
    Là des crânes ouverts par un cheik triomphant.
    Mais voici que le ciel à l'horizon se fend,
    Et des frissons d'...