• Ô berger, ne suis pas dans cet âpre ravin
    Les bonds capricieux de ce bouc indocile ;
    Aux pentes du Ménale, ou l'été nous exile,
    La nuit monte trop vite et ton espoir est vain.

    Restons ici, veux-tu ? J'ai des figues, du vin.
    Nous attendrons le jour en ce sauvage asile.
    Mais parle bas. Les Dieux sont partout, ô Mnasyle !
    Hécate nous regarde avec son oeil...