• Si tu veux dénouer la forêt qui t’aère
    Heureuse, tu te fonds aux feuilles, si tu es
    Dans la fluide yole à jamais littéraire,
    Traînant quelques soleils ardemment situés

    Aux blancheurs de son flanc que la Seine caresse
    Émue, ou pressentant l’après-midi chanté,
    Selon que le grand bois trempe une longue tresse,
    Et mélange ta voile au...