Porte ta vie ailleurs, ô toi qui fus ma vie ;
Verse ailleurs ce trésor que j'avais pour tout bien.
Va chercher d'autres lieux, toi qui fus ma patrie,
Va fleurir, ô soleil, ô ma belle chérie,
Fais riche un autre amour et souviens-toi du mien.
Laisse mon souvenir...
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Toi qui me l'as appris, tu ne t'en souviens plus |
Puisque votre moulin tourne avec tous les vents, |
Il faudra bien t'y faire à cette solitude, |
Te voilà revenu, dans mes nuits étoilées, |
Telle de l'Angelus, la cloche matinale |